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    Fort du Mont-Valérien
    Suresnes
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    Un des 16 forts construit entre 1841 et 1848 dans le cadre de l'enceinte de Thiers, qui donna à la capitale sa frontière définitive. Ancien lieu de pèlerinage, son nom viendrait d'un ermite du 17e siècle. Construit sur le mont Valérien, culminant à 162 mètres, soit 32 de plus que la butte Montmartre, le physicien Fizeau utilisa d'ailleurs la distance entre les deux monts pour déterminer la vitesse de la lumière en 1849. Plus d'un millier de résistants y furent fusillés par les nazis entre 1941 et 1944.
  • Place
    Fort de Domont
    La Grande Plaine
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    Un des 196 forts construits entre 1870 et 1885 sur toute la France dans le cadre du système complémentaire Séré de Rivières. Après avoir tiré quelques obus sur des cavaliers allemands en 1914, il profite d'une retraite paisible et coule actuellement des jours heureux comme centre de formation incendie.
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    Redoute de la Butte Pinson
    Montmagny
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    Une des 16 redoutes construites entre 1870 et 1885 sur toute la France dans le cadre du système complémentaire Séré de Rivières. La butte de 114m ayant été occupée par les prussiens lors du siège de 1870, on s'empressa d'y établir une fortification. Brièvement occupée par le Général Leclerc en 1944, elle est démilitarisée en 1952. Rachetée par les communes de Montmagny et Pierrefitte en 1972, ses casernes sont utilisée par des clubs de tir et associations viticoles, et ses fosses par des jardins familiaux.
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    Fort de Chelles
    La Grande Forêt
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    Un des 196 forts construits entre 1870 et 1885 sur toute la France dans le cadre du système complémentaire Séré de Rivières. Situé à 104 mètres au sommet de la « montagne de Chelles », désaffecté après 1944, il est utilisé par la société Kodak dans les années 60 pour y entreposer des films et produits polluants, le site étant relativement sec. Racheté par la ville de Chelles en 1972, il est utilisé comme stand de tir puis devient en 2007 un parc où se succèdent balades, cinéma en plein air et concerts.
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    Fort des Hautes-Bruyères
    Villejuif
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    Un des 196 forts construits entre 1870 et 1885 sur toute la France dans le cadre du système complémentaire Séré de Rivières. Situé à 130 mètres sur le point culminant du Val-de-Marne, sa construction est supervisée par Viollet le Duc, alors lieutenant du génie, qui restaurera plus tard la cathédrale Notre-Dame de Paris et la cité médiéval de Carcassonne. Centre d'entrainement de CRS et pompiers jusqu'en 2016, il devrait devenir un centre de formation pour professionnel de santé.
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    Colline de la Revanche
    La Grande Défense
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    La colline d'Élancourt, ou colline de la Revanche, s'élève à 231 mètres d'altitude. Elle est le point culminant de toute la région Île-de-France. Ancienne carrière depuis 1881, son exploitation cesse après la Seconde Guerre Mondiale et devient une décharge d'ordures ménagères jusqu'en en 1975. Cette colline est artificielle et est constituée de déchets et remblais. Chaque année s'y déroule une épreuve de VTT, c'est donc naturellement qu'elle accueillera cette épreuve pour les JO 2024.
  • Place
    Montagne Sainte-Geneviève
    Mont Sainte-Geneviève
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    Anciennement « mons Lucotitius », c'est sur le sommet de cette butte de 61 mètre que Clovis fit édifier une basilique dédiée aux apôtres Pierre et Paul, où Sainte-Geneviève avait coutume de monter prier, en empruntant un chemin devenu « rue de la Montagne-Sainte-Geneviève ». Gravis un mont, il portera ton nom ! Bon, faut pas rêver, on parle quand même de la femme qui a envoyé balader Attila.
  • Place
    Butte Montmartre
    Montmartre
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    Le sommet de la butte, à 128 mètres, est situé dans le cimetière du Calvaire, créé en 1688 en remplacement d'une ancienne nécropole mérovingienne. Saccagé à la Révolution, il fermera ses portes en 1823, au profit du Cimetière de Montmartre. On compte environ 85 sépultures, et seules les familles dont un ancêtre repose dans ce cimetière peuvent s’y faire enterrer ; 3 inhumations y ont ainsi eu lieu depuis 5 ans.
  • Place
    Butte de Belleville
    Saint-Fargeau
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    Le sommet de la butte, à 128 mètres, se situe dans le cimetière de Belleville, inauguré en 1804. Claude Chappe, père du télégraphe, expérimenta son invention sur la colline de Belleville (plaque à l'entrée du cimetière). Mais, son invention fut l'objet d'une méprise. Alors en 1792-93, les habitants du quartier crurent que ses machines transmettaient des signaux clandestins à la famille royale, détenue prison du Temple. Ils détruisirent le tout et Chappe dut s'échapper !
  • Place
    Butte aux Cailles
    Butte-aux-Cailles
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    Cette butte de 63 mètres, qui doit son nom à Pierre Caille, propriétaire en 1543, fut longtemps sordide en raison des nombreuses activités industrielles utilisant l'eau de la Bièvre. La deuxième rivière parisienne (hein ? quoi ? où ça ?) rendue souterraine par des travaux menés par la ville de Paris de 1828 à 1910, ce qui donna progressivement au quartier l'apparence et le charme qu'on lui connaît actuellement.
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    Mont Parnasse
    Plaisance
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    En référence au mont Parnasse, une montagne du centre de la Grèce qui abritait les muses de la mythologie grecque, les étudiants du Quartier Latin de Paris auraient nommé avec humour « mont Parnasse » un amas de gravats qui formait, avant 1725, une colline artificielle de 66 mètres de haut sur l'actuel carrefour entre les boulevards Montparnasse et Raspail. Le nom fut repris lors de la création de la rue du Montparnasse, en 1773. Inspiration, quand tu nous tiens.
  • Place
    Colline de Chaillot
    Passy
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    L'origine du nom, datant du 11e siècle, viendrait de « chail », soit une coupe de bois, peut-être celle percée dans la forêt du Rouvray, dont reste le bois de Boulogne. L'ancien village de Chaillot, déjà faubourg et huppé, fut rattaché à Paris en 1659. La colline de 70 mètres de haut a vu s'ériger (ou non) divers projets grandioses, du Palais du Roi de Rome de Napoléon à celui du Trocadéro et sa salle de 4800 places, jusqu'au palais actuel perclus de musées datant de 1937. Mais jusqu'à quand ?
  • Place
    Butte de Cormeilles
    La Grande Plaine
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    Cette butte faisant partie des « buttes du Parisis » allant du Fort de Cormeilles à la butte d'Orgemont, culmine à 168 mètres.
  • Place
    Butte d'Orgemont
    La Grande Plaine
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    Cette butte faisant partie des « buttes du Parisis » allant du Fort de Cormeilles à ici, culmine à 121 mètres au niveau du moulin.
  • Place
    Butte de Montmélian
    La Grande Plaine
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    Le « Mons Medius », soit « mont du milieu », est attesté dès le 2e siècle avant Jean-Christophe. Culminant à 203 mètres, la butte poursuit les monts de la Goële, qui comprennent les buttes de Montgé et Damartin.
  • Place
    Butte de Carnelle
    La Grande Plaine
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    Ce petit massif recouvert de forêt voit son sommet s'élever à 211 mètres, ce qui en fait un des point culminant du Val-d'Oise avec la butte de Rosne.
  • Place
    Butte de Rosne
    La Grande Plaine
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    Les buttes de Rosne, les plus élevées du plateau du Vexin, sont constituées d'une butte-témoin en forme d'équerre d'environ 4 km de longueur. Elles témoignent de la très ancienne présence de la mer à l'époque du Stampien (-30 millions d'années) et de l'érosion qui les a mises en évidence. Avec ses 216 mètres, le sommet du massif est le point culminant naturel de la région Île-de-France.
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    Plateau d'Avron
    Neuilly-Plaisance
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    Butte de Dammartin
    La Grande Forêt
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    Dammartin-en-Goële campe sur l’une des buttes de l’alignement du pays de Goële, région naturelle caractérisée par de basses collines sableuses couvertes de bois et de bosquets. Celle-ci culmine à 181 mètres. Après une courte marche, on tombe sur une prairie bordé de tilleuls et de bancs. Calme est la vie en Goële, me disait Dame Martin. (par Viknis)
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    Butte de Montgé
    La Grande Forêt
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    Le mont Jovis, soit mont Jupiter, est mentionné dès le 11e. Culminant à 201 mètres, la butte fait partie avec celle de Damartin des monts de la Goële, reliefs suivant une direction Nord-Ouest / Sud-Est en continuité avec la faille du Pays de Bray. Elle est quand même haute la butte, Mon Général ! (par Viknis)
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    Butte de Picardie
    La Grande Défense
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    Butte de Gallius
    La Grande Défense
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    Plateau des Alluets
    La Grande Défense
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    C'est aux Alluets-le-Roi que se situe à 187 mètres le point culminant d'un relief s'étendant d'Épone à Ville d'Avray.