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Plus grand musée d'Art Moderne d'Europe avec 98 868 œoeuvres de 6 260 artistes, 2e au monde derrière le MOMA de New York, Beaubourg était à l''origine l''un des quartiers les plus pauvres de Paris, défini sous le nom « d''îlot insalubre n°1 ». Voulu par le président George Pompidou, c''est Valéry Gisquard d'Estaing qui l''inaugure le 31 janvier 1974. Les éléments fonctionnels du bâtiment constituent sa façade avec un code couleur défini. And don't you know Pompidou, you've got to Pompidou.
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En 1810, Napoléon 1er souhaitait bâtir sur la butte du village de Chaillot un « kremlin cent fois plus beau que celui de Moscou » en l'honneur du Roi de Rome, son fils de 2 ans. Avec un parc allant de la place de l'Étoile à Boulogne, tranquille. Le Palais du Trocadéro, lui, (du nom d'une victoire française de 1823 en Espagne) était une grandiose salle des fêtes de 5 000 personnes construite pour l'Exposition Universelle de 1878. Le palais actuel construit pour celle de 1937 fût le premier siège de l'ONU.
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Construit pour l''exposition universelle de 1900 comme pièce maîtresse de « l'axe républicain » (des Invalides au Palais de l'Élysée) en remplacement du vaste mais inconfortable Palais de l'Industrie de 1855, il porte le nom officiel de « Grand Palais des Beaux-Arts ». Sa verrière de 200 mètres de long pour 50 mètres de large et autant de hauteur utilise autant de métal que la Tour Eiffel. Utilisée successivement comme cirque, caserne, salon hippique, il fût entièrement rénové de 1993 à 2007.
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Le château de Versailles est un château et un monument historique français qui se situe dans la ville éponyme. Il fut la résidence des rois de France Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Ce château, qui visait à glorifier la monarchie française, est constitué d'une succession d'éléments dont le Petit et le Grand Trianon, le hameau de la Reine, le Grand et le Petit Canal, une ménagerie (aujourd'hui détruite), une orangerie et la pièce d'eau des Suisses. Billets coupe-file vivement conseillés !
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Le Palais d'Orsay, construit entre 1810 et 1840, accueillit le Conseil d''État et la Cour des Comptes avant d''être ravagé par les flammes de la Commune en 1870. Une gare monumentale est construite comme terminus de la ligne de Paris à Bordeaux, à l''occasion de l'Exposition Universelle de 1900. Transformé en musée en 1986, il fait le pont entre le Louvre et Pompidou en acceuillant la plus grande collection de peinture impressionniste au monde. On va voir l'Origine du Monde ?
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Construit par le roi Philippe-Auguste au 13e siècle, le château de Dourdan est remarquablement conservé, seuls le pont-levis et la herse ayant succombé aux ravages du temps. Après avoir subi les assauts du conflits entre Armagnacs et Bourguignons (et on ne parle ici pas de cépages !), le château fut cédé, pillé, racheté, donné. Vendu à la commune en 1961, classé en 1964, le château fut notamment un corps de garde pour les mousquetaires, puis une prison à la Révolution. Il a plus d'un Dourdan, son sac !
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Construit vers 1770, le Château de Malmaison a été la résidence principale de Joséphine de Beauharnais (la zouz de Napoléon). Le château sera le c?ur du gouvernement pendant le Consulat de 1799 à 1804. Résidence secondaire, après sa mort, il est sacagé pendant la guerre de 1870 et devient une caserne militaire. Racheté et rénové par le mécène Osiris, le château est lègué à l'Etat en 1904. Et si tu n'aimes pas le mobilier napoléonnien, Joséphine, qui n'était pas une poire, avait un grand jardin de roses.
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Cette résidence des rois de France entre 1124 et 1682 est un lieu historique, où de nombreux traités de paix et édits royaux furent signés. Restauré au début du 17e siècle afin de devenir une école de cavalerie, il fut un pénitencier militaire jusqu'en 1855. Abritant le musée d'archéologie nationale depuis 1862 et classé aux Monuments historiques l'année suivante, des travaux de rénovation y ont été initiés par Eugène Millet pour ne finir qu'au début du 20e siècle. Un sacré lifting !
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Au 15e, il y eut un manoir. Au 17e, les Potier de Gesvres y batissent un château. En 1670, Colbert rachète et étend le domaine, agrandit le château, appelle son pote Le Nôtre pour le jardin. Puis le fiston Colbert y ajoute une orangerie et rappelle Le Nôtre pour d'autres ajouts. Ensuite le duc de Maine (fils de la Montespan) y organise des fêtes pour le gotha de l'époque. En 1789, confiscation, en 1803, démolition, en 1835, reconstruction, et en 1971, rachat par le département. Tant de sursauts à Sceaux !
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Le château d'Écouen fait partie des quelques 130 châteaux ayant appartenu à Anne de Montmorency. Ami intime de 2 rois de France, ce collectionneur et mécène fit construire ce château de style Renaissance surplombant la Plaine de France à partir de 1538. Le château servit ensuite d'hôpital, de prison ainsi que de maison d'éducation de la Légion d'honneur sous Napoléon. Depuis 1977, le château abrite le Musée national de la Renaissance, l'un des principaux sites touristiques du département.
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Le musée du Louvre est l'un des plus grands musées d'art et d'antiquités du monde, avec une collection de 460 000 œuvres, et est le musée le plus visité au monde (9 millions de visiteurs annuels au compteur). Le musée se signale par la pyramide de verre de son hall d'accueil. Pour profiter pleinement des ailes Sully, Denon et Richelieu, ainsi que des sous-sols, des appartements de Napoléon et de toutes les autres petites salles sous les toits sans avoir à jouer des coudes, visite nocturne conseillée !
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Énième "Grand projet" de Tonton Mitterrand, la Cité de la Musique est inaugurée en 1995 sur le site des anciens abattoirs de la Villette. Outre sa salle de concert modulable (jusqu'à 1 600 places), elle abrite aussi un amphithéâtre, des lieux de documentation et d'exposition, ainsi que le Musée de la Musique. Accueillant tous les styles (classique, jazz, pop, electro, world...), elle est, depuis l'ouverture de son imposante petite sœur, tristement renommée en "Philharmonie 2". Je ne suis pas un numéro !
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L'hôtel des Invalides est un monument dont la construction fut ordonnée par Louis XIV, pour abriter les invalides de ses armées. Aujourd'hui, il accueille toujours des invalides, mais également plusieurs musées et une nécropole militaire, dont l'énooorme tombeau du petit Napoléon Bonaparte, inhumé en 1860 sous le dôme de 107 mètres dominant Paris terminé en 1708. Et, comme dirait Coluche, « qu'est-ce qu'un héros ' C'est un soldat qui a réussi. Qu'est-ce qu'un invalide ? C'est un héros qui n'est pas mort. »
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Tu sais lire wikipédia et écrire des trucs drôles ? BattleParis a besoin de toi ! Envoie-nous un mail à contact@battleparis.com et gagne la médaille « Gratte-Papier ». Les règles d'or : - 512 caractères maximum, - Commencer par la toponymie du lieu, - Poursuivre dans l'ordre chronologique, - Terminer par une jeu de mot pourri. Parce que les jeux de mots pourris, c'est notre grande passion <3
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Construit pour l'Exposition Universelle de 1900 pour accueillir une « Rétrospective de l'art français », le Petit Palais devient « Palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris » en 1902. Il est l’oeuvre de l'architecte Charles Girault, qui l'a conçu comme un trapèze réparti autour d'un jardin semi-circulaire. S'il accueille d'abord des collections de tableaux et statues, il s'ouvre ensuite à la photographie. Il est rénové de 2001 à 2005 pour permettre d'augmenter les espaces d'exposition.
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Ce pavillon est initialement construit à l'intérieur du gigantesque Palais du Champ de Mars de l'Exposition universelle de 1878. Représentant la Suède & la Norvège, alors unis sous une même couronne, il est racheté et remonté ici par le prince Stirbey, aristocrate roumain également propriétaire du château de Bécon, dont ne reste que le parc. Servant à l'origine de d'atelier à l'artiste Consuelo Fould, fille adoptive du prince, il abrite désormais le musée de la ville de Courbevoie.
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Installé dans l'aile ouest du Grand Palais, construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900, le Palais de la Découverte ouvre à l'occasion de celle de 1937. Conçu par le prix Nobel de physique Jean Perrin, son but est de « sortir la science des laboratoires » afin de montrer à tous les publics la « science en train de se faire ». À travers des ateliers interactifs, les visiteurs peuvent découvrir la physique, la chimie, l'astronomie, les sciences de la vie, et plein de trucs en « ie ».
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Le palais est construit à l'occasion de l'exposition coloniale de 1931 par l'architecte Albert Laprade. Chef d'œuvre d'Art déco, son bas-relief, représentant les grands ports des colonies françaises, est l'œuvre d'Alfred Janniot, auteur de ceux du Palais de Tokyo et du décor du paquebot « Île-de-France ». Devenu en 1935 « musée de la France d'Outre-mer », les collections de ce dernier ont rejoint le musée du quai Branly en 2003. Le palais abrite depuis 2007 le musée de l'histoire de l'immigration.
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Construites durant le 2e siècle de J.C., les thermes du nord se situent à l'angle du cardo, axe principal romain, aujourd'hui boulevard Saint-Michel. Décorés de bleu et d'ocre, ils étaient approvisionné en eau par l'aqueduc d'Arcueil. Détruits par les francs en 275, Childebert 1er se ravise et en fait son palais vers 550. Ce dernier est vendu aux abbés de Cluny en 1336, qui construisent leur hôtel. Utilisé comme grange, écurie puis cellier, il est enfin acheté par la ville en 1810, qui en fait un musée.
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Eugène Delacroix, c'est l'effigie des billets de 100 franc. Tu t'en souviens ? Ici, a vécu Eugène - Artiste Peintre. La Société des amis d'Eugène, après s'être battue pour éviter sa destruction, a obtenu la transformation de l'appartement-atelier en musée, afin que son art puisse perdurer. C'est beau, l'amitié ! Les façades et les toitures de l'immeuble ainsi que le musée, le sol du jardin et l'atelier ont été inscrits sur l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1991. Flanerie assurée !
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Le musée de l'Orangerie est un musée de peintures impressionnistes et postimpressionnistes. Il présente des œuvres de Claude Monet, Paul Cézanne, Henri Matisse, Pablo Picasso, Pierre-Auguste Renoir, Amedeo Modigliani, pour ne citer qu'eux. Le musée tient son nom de l'ancienne orangerie du Palais des Tuileries et abrite les célèbres Nymphéas. Après le musée, une balade dans ce beau jardin est toujours la bienvenue. Une glace chez Amorino, un chocolat chaud chez Angelina ou Gaudard ? À toi de voir !
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Ouvert en 1985, le musée Picasso est oh surprise consacré à... Picasso ! Implanté dans l'hôtel particulier du Salé, datant de 1660, qui fut aussi l'ambassade de la République de Venise, une institution pour jeunes gens, et l'école centrale des Arts et Manufactures. En 1964, il est acheté par la ville de Paris qui voulait y ouvrir un musée du Costume. Finalement l'hôtel est cédé à l'État, qui y installe un musée consacré au peintre, dessinateur et sculpteur espagnol. Pour en savoir plus, va au musée, olé !
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Le Musée du Luxembourg a été le premier musée français ouvert au public en 1750, et est devenu, à partir de 1818, le premier musée d'art contemporain. Son histoire est liée à celles du Palais du Luxembourg et du Sénat, qui est à l'origine de la construction du bâtiment actuel en 1884. Depuis 2000, le Musée du Luxembourg a renoué avec son histoire, le Sénat en assurant à nouveau la gestion. Sa vocation actuelle est de présenter périodiquement des expositions artistiques thématiques et originales.
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L'hôtel Biron, achevé en 1730, a connu de nombreux occupants, dont une congrégation religieuse qui quitta les lieux en 1905 suite à la séparation de l'Église et de l'Etat ; on autorisa alors Rodin, Cocteau et Matisse à y installer leurs ateliers. L'exceptionnel domaine de 3 hectares est racheté par l'État en 1911, tandis que le sculpteur lui cède ses collections à condition qu'un musée lui soit dédié. Ouvert en 1919, le musée Rodin est oh surprise consacré à... Rodin. Rodin p'tit bonhomme, il est cullotté !
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Ouvert en 1903, le musée Gustave Moreau est oh surprise consacré à. Gustave Moreau ! En fait, il s'agit de l'hôtel particulier du peintre symboliste, né en 1826, que ses parents lui avaient offert afin que, comme la plupart des écrivains et des artistes de l'époque, il ait lui aussi sa maison-atelier dans le très chic quartier de la Nouvelle Athènes. A sa mort en 1898, l'hôtel est légué selon ses vœux à l'État français, pour que son œuvre y soit conservée. Moreau cons qui ne font pas leur autopromotion !
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Ouvert en 1889, le musée Guimet a été voulu par Émile Guimet, industriel lyonnais. Au cours de ses nombreux voyages en Orient, ce collectionneur a pu rassembler une multitude d'objets qu'il a d'abord faits exposer à Lyon, avant de leur dédier un musée qu'il fit construire à Paris. Rénové au milieu des années 90, le musée se veut aujourd'hui un "grand centre de la connaissance des civilisations asiatiques". Entre Guimet, car c'est une citation.
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Le musée d'Ennery présente une collection de plus de 7000 objets d'art asiatique réunis durant la deuxième moitié du XIXème siècle par la collectionneuse Clémence d'Ennery. Conformément à sa volonté, le cabinet d'art et de curiosités d'extrême-orient tout comme l'hôtel particulier de 1875 sont légués à l'Etat à sa mort. Le musée, ouvert en 1908, connut seize ans de fermeture pour travaux avant de rouvrir en 2012. Il dépend aujourd'hui du musée Guimet. Vous reprendrez bien un peu d'Ennery cantonnais !
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Ouvert en 1924, le musée Jean-Jacques Henner est oh surprise consacré à... Jean-Jacques Henner ! Ce peintre né en 1829 et mort en 1905 est surtout connu pour ses tableaux de nus féminins. Le musée situé dans un ancien hôtel particulier est un des rares témoignages d'architecture privée sous la IIIe République ; il appartenait en réalité à un autre peintre, Guillaume Dubufe, mais fut racheté par la veuve du neveu d'Henner pour y installer la collection d'œuvres de l'oncle. Promis, pas de quoi s'Hennerver !
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Inauguré en 2006 par Jacques Chirac, le Musée du Quai Branly (neutralité choisie pour éviter "arts premiers") réunit les anciennes collections d'ethnologie du musée de l'Homme et du Musée des Arts d'Afrique et d'Océanie. Les 1 320 000 pièces qui composent sa collection sont censés témoigner de l'art et de l'artisanat des civilisations non occidentales. Et si la valorisation esthétique et ethnocentrée de la collection te dérange, va donc profiter des superbes jardins où rien n'ébranlera ton repos.
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Créé en 1824 par Alexandre Brongniart, alors directeur de la manufacture impériale de porcelaine Sèvres soucieux de promouvoir son art et de présenter l'histoire des techniques de la céramiques et des matières vitreuses. Les 50 000 objets en céramique de toutes les civilisations et toutes les époques en motiveront peut-être certains ; pour les autres, le musée se trouve sur le trajet de Rock en Seine et autant dire que là bas on n'fait pas dans la porcelaine !
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Ouvert en 1962, le musée de Port-Royal des Champs est le plus petit musée national de France. Il est consacré à l'histoire de l'abbaye de Port-Royal, monastère fondé en 1204, qui fut le théâtre d'une intense vie intellectuelle. Initialement abbaye cistercienne féminine, il s'y forme au 17e siècle une contestation politique et religieuse de l'Église tridentine d'influence janséniste. Sous pression jésuite, Louis XIV organisera sa destruction par la poudre en 1709. C'est pas ici qu'on y Blaise Pascal !
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Inauguré en 2005, le mac val est un bel espace dédié aux créations actuelles et non un sandwich rapide. Sobre et chic, il accueille toutes formes d'expressions originales. L'art contemporain s'habille parfois d'un discours obscur ou pompeux mais, sans vouloir toujours creuser le pourquoi du comment, la variété des recherches exposées suffit à passer des moments intriguants à divertissants. Avec ciné, bibli, jardin et restau associé, il est bon marché. Qu'on aime ou pas, un archétype de soutien à la culture.
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La villa des Brillants, située sur les carrières et la colline éponymes, est contruite à la fin du 19e siècle dans le style Louis XIII. Rodin s'y installe à partir de 1893, et en fait à la fois sa demeure et son atelier en plein air, où il invite Isadora Duncan, Stefan Zweig, Brancusi, Eleanor Roosevelt ou le roi Édouard VII. En 1910 il fait reconstruire dans le jardin la façade du château d'Issy, brulé en 1871. Décédé en 1917, le maître de la sculpture moderne est enterré ici à ses pieds, et pas là-bas.
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Napoléon ordonne la construction du pavillon de Marsan en 1801, pour relier le palais des Tuileries à celui du Louvre. Il ne sera terminé qu'en 1848, avant d'être détruit avec l'incendie des Tuileries durant la Commune en 1871. Reconstruit à l'identique, il accueille depuis 1905 le musée des Arts Décoratifs de Paris, destiné à valoriser les liens entre la culture et l'industrie. Un bon gros réaménagement en 1996 lors du projet du « Grand Louvre » lui ajoute le musée de la Mode et celui de la Publicité. Bim.
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Le prieuré de Saint-Martin-des-Champs est fondé en 1060 par Henri 1er, ce qui en fait un des plus ancien lieu d'étude de France. Son réfectoire de 1235 est un chef d'œuvre du gothique rayonnant, les terres du prieuré s'étendent alors sur une dizaine de diocèses. Nationalisé en 1789, le site devient le siège du Conservatoire des Arts et Métiers en 1798. Le musée s'installe lui dès 1802 dans la nef de l'église, et présente plein de vieilles machines bizarres tout droit sorties d'un roman de Jules Vernes.
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L'hôtel de Saint-Aignan est bâti en 1650 pour le surintendant des finances de Mazarin par Pierre Le Muet. Racheté par le duc de Saint-Aignan en 1688, il est saisi à la Révolution où il devient mairie de l'ancien 7e arrondissement. Suite à l'extension de Paris il accueille des ateliers de confection juifs dès 1843, qui seront raflés un siècle plus tard sous l'occupation. Racheté par la ville de Paris en 1962, il ouvre au public en 1998 et présente la riche histoire de la culture juive en France.
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Le Muséum national d'histoire naturelle est fondé à la Révolution dans l'ancien Jardin royal des plantes médicinales. La place finissant par manquer, la galerie de zoologie est construite en 1889, à temps pour l'Exposition universelle. Sous sa grande verrière de verre s'aligne déjà la grande procession des animaux. Fermé en 1966, la verrière se brise et est remplacée par un toit en zinc. La réouverture de 1994 propose pour la 1e fois un alignement par évolution. Plus qu'une évolution, c'est une révolution !
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L'hôtel Carnavalet est construit en 1560 par Pierre Lescot, architecte de la cour carrée du Louvre, pour le président du parlement de Paris. En 1578 il prend le nom de sa propriétaire, veuve d'un breton du nom de Carnavalet, avant d'être upgradé par Mansart en 1650. Il est occupé après la Révolution par l'école des Ponts & Chaussées, puis racheté par la ville en 1866 sur les conseils du Baron Haussmann, pour en faire le musée de la ville de Paris. Il est brulé en 1871 et réouvert en mieux. Comme Paris quoi.
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Olivier de Clisson dit « le boucher », fait batir ici son hôtel en 1371, dont il reste les tourelles de la rue des Archives. Devenu hôtel de Guise en 1556, il est reconstruit en 1704 par François de Rohan-Soubise et sa femme, amante de Louis XIV. Il se dégrade progressivement avant d'être racheté par l'État en 1808, qui y installe les archives nationales. Vite à l'étroit, des dépôts ne cesseront d'être construit, ainsi qu'une « armoire en fer » contenant les documents les plus précieux. Fer papier ciseaux ?
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L'atelier de la monnaie de Paris, le plus ancien de France, est créé en 846 suite à l'Édit de Pîtres par Charles II le Chauve. Situé à l'origine dans le palais de la Cité, il déménage rue de la Monnaie, rive droite, puis s'installe à l'emplacement de l'ancien hôtel de Conti en 1775, dans l'actuel palais de la Monnaie. Jusqu'à 1900 ouvriers y travaillèrent au 19e siècle, avant le transfert à Pessac en 1973. Un musée y ouvre dès 1833, et compte transformer le plomb en or avec le projet MetaLmorphose en 2017.
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Roze de Rosimond, comédien et remplaçant de Molière, bâti ici son manoir au 17e siècle, avant de lui aussi mourir sur scène en interprétant le Malade Imaginaire. Auguste Renoir y installa son atelier en 1875, suivi du peintre et libertaire Maximilien Luce et du fauviste Raoul Dufy. Y vécurent Suzanne Valadon et son fils Maurice Utrillo, qu'elle enfermait pour le sevrer de l'alcool, en repousant les avances de leur voisin Erik Satie qui lui écrivait les Danses Macabres. Le musée de Montmartre ouvre ici 1960.
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Antoine Bourdelle installe son atelier en 1885 dans ce qui est alors l'impasse du Maine, avec comme voisin les sculpteurs Aimé et Eugène Carrière. À la fois laboratoire et sanctuaire, Bourdelle y travaillera pendant 45 ans avant de songer, à la fin de de sa vie, à en faire un musée pour y sauvegarder son œuvre, « comme l'a fait Rodin » dont il fut le disciple. Mort en 1929, il faudra attendre 1949 pour que sa veuve Cléopâtre Bourdelle-Sevastos puisse ouvrir le musée, agrandit en 1992 par Portzanmpac.
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Nichée sur le coteau de l'ancien village de Passy, la « maison de Balzac » est bâtie sur un habitat troglodyte datant du Moyen Âge. En réalité Honoré « de » Balzac s'installa dans cette maison aux entrées donnant sur deux rues surtout pour échaper à ses nombreux créancier. Seule demeure de Balzac à subsiter, c'est néanmoins ici qu'il corrigea l'intégralité de la « Comédie Humaine », son œuvre fleuve de 90 livres, de 1840 à 1847. Sauvée en 1908, elle devient musée en 1949, 100 ans après sa mort.
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Raffaele de Ferrari, duc de Galliera, fut un homme d'affaire et philantrope italien du 19e siècle. Partenaire des frères Pereire, il finança les chemins de fers de toute l'Europe, des banques et le Canal de Suez. Sa veuve Maria Brignole-Sale fit bâtir le palais pour héberger les d'œuvres d'art qu'elle souhaite léguer à la ville. Outrée par l'exil forcé de son ami le comte de Paris, elle livra le musée sans sa collection. Inauguré comme musée des Arts Industriels en 1895, il devient musée de la Mode en 1977.
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Le plus vieux musée d'aéronautique du monde est inauguré en 1921 au Hangar Y, à Meudon, sur proposition d'Albert Caquot, ingénieur prolifique à qui l'on doit la structure interne du Christ Rédempteur de Rio de Janeiro. Il faut attendre 1975 et la construction de Roissy pour que le musée s'installe à l'aéroport du Bourget, d'où les première lignes commerciales vers Londres partirent en 1919. Rénové en 2000, ses 250 000 m2 accueillent plus de 150 avions (dont le Concorde) et des fusées. Flyyy me to the Mooon.
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Louis XIV acquiert en 1699 la ferme de Chèvreloup, voisine de son Trianon. Bernard de Jussieu, botaniste des Jardins du Roy, crée ici l'école de botanique du Trianon, s'amusant à classer les végétaux. En 1922 François-Benjamin Chaussemiche, conservateur de Versailles, relance le projet d'Arboretum, mais en 1940 le site est donné aux habitant de Versailles pour faire face à la famine. Replantés en 1967, ses 200ha réouvrent en 1977, sont ravagés par la tempête de 1999, puis repousent, à nouveau.
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Médéric de Donon fait bâtir son hôtel en 1545 par Philibert Delorme, architecte ayant participé à la construction des châteaux de Vincennes, Fontainbleau et Saint-Germain-en-Laye. Ernest Cognac et sa femme Marie-Louise Jaÿ furent les fondateurs du grand magasin de la Samaritaine. Ils collectionnèrent de nombreuses œuvres d'art pour décorer la Samaritaine de Luxe du boulevard des Capucines. La collection fut transférée à l'hôtel Donon tout juste restauré en 1990. Comme le dirait tout barman : Cognac ? J'ai !
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L'hôtel de Guénédaud est érigé en 1655 par François Mansart pour le maître des comptes Jean-François Guénédaud. En 1964 il est en sale état, et André Malraux a l'idée de le louer au musée de la Chasse et de la Nature de son ami François Sommer, qui ouvre en 1967. L'hôtel de Mongelas mitoyen, construit en 1640 pour un certain Antoine Fouquet, est occupé en 1865 par le bijoutier Murat, avant d'être rénové pour agrandir le musée en 2007. Il met en scène le rapport de l'homme à l'animal. Rarement vivants.
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L'hôtel de Rohan-Guémené est bâti en 1605 par Isaac Arnauld, intendant des finances, et acheté par le prince Louis de Rohan en 1637. L'illustre famille le conservera jusqu'en 1782, date de leur faillite spectaculaire. Parmis ses locataires figurent Madame de Sévigné, Marion Delorme et donc le grand Victor Hugo de 1832 à 1848, qui écrivit une pièce de théâtre sur cette dernière. Il y recevra Dumas, Balzac, Mérimée... Le musée ouvre en 1903 à l'initiative de Paul Meurice, ami du poête, pour son centenaire.
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L'abbaye du Val-de-Grâce est fondée en 1621 par Anne d'Autriche, mère de Louis XIV. Transformée en hôpital militaire en 1793, il est ainsi préservé des destructions révolutionnaires. Le musée du Service de santé des armées s'installe dans son cloitre en 1916. Contemporain de la guerre de 14-18, il vulgarise la médecine aux armées avec soutien sanitaire, chirurgie maxillo-faciale, recherche en psychiatrie, médecines subaquatique et aérospatiale, actions humanitaires et création d'écoles de médecine.
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Voici l'un des deux musées dédiés au sculpteur d'origine russe Ossip Zadkine (1890-1967), l'autre étant dans le Lot. Cet atelier-musée à l'atmosphère unique est resté fidèle à son identité originelle double, un lieu de vie et de création. Il se compose d'une maison, d'un jardin et d'ateliers où Zadkine et son épouse vécurent et travaillèrent pendant près de cinquante ans. Enfin, selon le vœu du sculpteur, ce musée permet aux mal-voyants de toucher les œuvres, étiquetées en braille.
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Construit entre 1782 et 1787 pour le prince Frédéric de Salm-Kybourg, l'hôtel de Salm fut acheté en 1804 par Lacépede, 1er grand chancelier de la Légion d'honneur. Incendié sous la Commune, il fut reconstruit grâce à une souscription lancée parmi légionnaires et médaillés militaires. En 1925 l'aile des anciennes écuries du palais est reconstruite pour accueillir le musée. Étendu aux ordres étrangers en 1932, sa surface d'exposition est doublée en 2006.
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Le Grand Orient de France s'installe en 1853 dans un hôtel occupé au 18e siècle par le prince de Monaco puis Richelieu, et ouvre un musée en 1889. Réquisitionné par les Sociétés Secrètes de Vichy en 1940, les nazis pillent les collections. Le musée est reconstruit en 1973, pour le bicentenaire de la création du Grand Orient de France. Le musée entreprend en 1997 un partenariat fructueux avec l'État pour devenir « Musée de la Franc-maçonnerie » s'ouvrant à toutes les obédiences françaises et internationales.
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Ary Scheffer (1795-1858), peintre hollandais, construit en 1830 une maison rue Chaptal, dans le quartier de La Nouvelle Athènes. Celle-ci a deux étages sous un toit à l'italienne. Dans la cour pavée, trois ateliers et un salon, où il reçoit le Tout-Paris artistique et intellectuel. En 1899, ses peintures sont léguées à sa ville natale, Dordrecht. La maison est confiée à l'État en 1956, qui ouvre le musée en 1987. Le rez-de-chaussée est alors dédié à son amie George Sand. Ary, un ami qui vous veut du bien.
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Ce musée double ouvre en 1994 avec le Jardin de l'Atlantique, pour deux hommes de la résistance intérieure et des Forces Françaises Libres. Le Musée du général Leclerc retrace l'action de Philippe Leclerc de Hauteclocque et des hommes et des femmes qui l'ont suivi. Le Musée Jean Moulin présente l'homme public, le haut fonctionnaire, l'unificateur de la Résistance mais aussi l'homme privé, épris de modernisme, artiste et amateur d'art au travers du legs d'Antoinette Sasse, une de ses amies.
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Le musée Cernuschi, avec vue sur le parc Monceau, perpétue l'œuvre d'Henri Cernuschi (1821-1896). Patriote italien, qui dû se réfugier en France en 1850. Économiste puis banquier, il fit fortune à la fin du Second Empire. Profondément troublé par la Commune de Paris, il entreprit un voyage de 1871 à 1873, au Japon puis en Chine, où il acquerra près de 5 000 œuvres. Dans le même temps, il se fit édifier un hôtel particulier avenue Vélasquez, légué avec sa collection à la Ville de Paris.
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À la fin du Second Empire, les frères Abraham-Behor et Nissim s'établissent à Paris dans deux hôtels particuliers, rue de Monceau. À la génération suivante, Moïse substitue à l'hôtel paternel un écrin pour ses collections, classique mais au confort moderne. Aviateur, Nissim meurt en combat aérien en 1917. Son père, Moïse, lègue alors l'hôtel aux Arts décoratifs et à l'État français. Jusqu'à sa mort, en 1935, le collectionneur achève son oeuvre de reconstitution d'une demeure artistique du XVIIIe siècle.
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Les carmélites d'Amiens fondent ici en 1625 un monastère (carmel), repris en main par Louise de France en 1770, fille de Louis XV. Le musée est de son côté fondé en 1901 dans l'ancien Hôtel-Dieu, avant que la ville ne rachète le carmel pour l'y installer en 1981. La collection du musée sur le Siège de Paris de 1870 et la Commune de Paris de 1871 est l'une des plus importantes sur ce thème, les nombreux supports permettant une approche à la fois historique et intime de cet évènement.
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La seignerie de Montreau est attestée dès le 13e siècle, et son château au 15e. Génant les tirs du fort de Rosny, il est rasé et le terrain racheté par le sieur Théophile Sueur, maire de Montreuil, qui y bâtit une demeure où il installe son usine de cuir et peaux. Racheté par la ville, le seul musée de l'histoire ouvrière et sociale en France ouvre en 1937. Il renferme près de 70 000 documents liés à l'expression sociale et ouvrière, de 1789 aux années 1970, avec Louise Michel, Hugo, Jaurès, Vallès & co.
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Créée en 1766 au château d'Alfort, l'école vétérinaire d'Alfort est la deuxième au monde après celle de Lyon. Le « cabinet du Roy » qui l'accompagne est l'un des plus ancien musée de France. Ils déménagent en 1901 dans de nouveaux bâtiments, le musée n'ouvrant au public qu'en 1990. Il est dédié aux « Écorchés » d'Honoré Fragonard, génial anatomiste, premier directeur de l'école. Très théatraux, ils sont conservés avec la même résine de Mélèze utilisée par son cousin Jean-Honoré pour protéger ses tableaux !
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Succédant au premier musée de la gendarmerie, ouvert non loin de là en 1946, le musée de la Gendarmerie ouvre en 2015 dans une ancienne caserne de 1900. Situé juste à côté de l'École des Officiers de la Gendarmerie, il retrace l'histoire de l'institution grâce à plus de 2 000 objets (uniformes, armes, véhicules, photos) au travers d'un parcours chronologique, débutant en 1339. Sont également présentées les affaires judiciaires, investigations criminelles tel celles de Dominici et Bonnot, jusqu'à nos jours.
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Installé dans l'hôtel de Montmorency construit en 1743, le musée abrite les œuvres d'un peintre renommé de la seconde moitié du 19e siècle, Ernest Hébert. On est d'accord, si tu n'es pas spécialiste du Second Empire ni expert en Histoire de l'Art, cet artiste te laissera perplexe. Mais va donc jeter un œil dans cet hotel particulier où t'attendent portraits et scènes paysannes. En mauvais état, le musée est fermé en 2004, année de son rattachement au musée d'Orsay, qui ne veut pas payer pour sa rénovation.
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Le banquier et philantrope alsacien Albert Khan loue en 1892 un hôtel particulier sur les quais de Boulogne. Il l'achète en 1895, ainsi que 4 parcelles avoisinantes, commençant son jardin, qu'il agrandira jusqu'en 1910. Illustrant la volonté du propriétaire d'unir les peuples, le paysagiste Achille Duchène conçoit des jardins français, anglais et japonais. L'hôtel et ses « Archives de la Planète » sont acquis par le département de la Seine au lendemain de la crise de 1929, qui ouvre jardin et musée en 1937.
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Créé en 1939, ce musée regroupe le patrimoine culturel et industriel de Boulogne-Billancourt, villes fusionnées en 1925. Il se recentre dans les années 1980 sur l'exploration du patrimoine des années 1930, époque faste pour la ville qui voit défiler une ribambelle de personnages : artistes, architectes, peintres, sculpteurs, cinéastes… qui gentrifient le quartier, alors plus abordable que Paris. Expo intérieur et extérieur, comme c'est moderne. (par Viknis)
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Ce musée a été fondé en 1984 par deux passionnés de modélisme ferroviaire et expose plus de 4 000 pièces de collection, essentiellement de trains-jouets et un réseau fonctionnel dont les voies s'étirent sur 500 mètres, avec des trains miniatures roulant. Le musée propose plusieurs fois par an de monter dans le petit train qui circule alors dans le jardin du musée, autour du bâtiment. Rambolitains, accrochez vos ceintures ! (par Viknis)
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Créé en 1988 à Gentilly par l'antiquaire et metteur en scène Jean Paul Favand, fondateur du Louvre des Antiquaires en 1977, le musée déménage en 1993 dans le 15e dans l'ancienne usine École Citroën. C'est en 1996 qu'il s'installe à Bercy dans un des ancien chais à vins de l'architecte Louis-Ernest Lheureux. Ce lieu de 11 000 m2 accueille 14 manèges, 16 boutiques foraines restaurées et 1522 œuvres qu'il est possible de toucher, ainsi que des scénographies numériques. Enfin un musée pour la fête et le rire !