Les vignes de Périchot puis les anciens abattoirs de Vaugirard squattaient ici avant que Brassens, qui habitait à quelques dizaines de mètres, n'ait la bonne idée de devenir pas mal célèbre, évitant au parc actuel un probable nom ridicule. Le poète, qui sortait sa guitare sur les bancs publiques auprès de son arbre, n’avait pas mauvaise réputation avec sa moustache. Gorille ou auvergnat, pour lui c’était les copains d’abord.